A propos

Covideries
Bienvenue à Macronland, le pays où tout est gratuit, et où personne ne meurt jamais !
Pour éviter d’être mise en accusation par l’exploitation sensationnaliste des conséquences de l’échec de décennies d’une politique de santé publique qu’elle n’a jamais remise en question, une clique de technocrates au pouvoir, conseillée en cela par une bande de charlatans lisant dans les chiffres comme Madame Irma lit dans les astres et par d’opaques cabinets de conseil grassement rémunérés pour dire l’heure qu’il est à votre montre, va traiter comme du bétail une population, entretenue dans l’ignorance et la crédulité, en prétendant « gérer » une « crise sanitaire » par le torpillage en règle de l’avenir de toute une jeunesse au moyen d’un festival de mesures administratives aussi disproportionnées que liberticides, inégalitaires et absurdes.
Récit en images d’un délire collectif, d’où il ressort qu’en prétendant que la vie n’a pas de prix tout en ignorant qu’elle a un coût, par ailleurs inégalement réparti, la médecine est peut-être l’amie de l’homme, mais sans doute aussi l’ennemie de la société, et que l’amateurisme, l’autoritarisme et l’arrogance des politiques ne connaissent pas de limite…
NB : Ce qui n’est malgré tout pas une raison suffisante pour ne pas vous faire vacciner : ce n’est pas la médecine qui a produit le vaccin, c’est la science. Enfin, vous faites comme vous voulez…
Trumperies
Pour rester au pouvoir auquel il s’accroche comme un morpion afin de ne pas être écrasé d’un juste coup de tapette judiciaire, un père Ubu va recourir à toutes les formes d’abus de pouvoir pour faire avaler à une population de crédules ayant basculé dans le complotisme, que la vérité n’est pas ici, mais ailleurs, dans le pays des alternative facts et autres absurdités.
Récit en images de l’exploitation perverse de tous les loopholes d’un système, d’où il ressort que dans les faits, la démocratie tient avant tout à l’idée que s’en font ceux qui la gouvernent, et que ces derniers ne sont pas les électeurs.
NB : Ce qui n’est malgré tout pas une raison suffisante pour ne pas aller voter : à la fin de l’histoire, c’est cela qui permet tout de même de s’en débarrasser. Enfin, vous faites comme vous voulez…